• Objectif : éradiquer le virus nuisible "mon ex amoureux"

    Méthode :
    -D'abord la thérapie "amis" : effet vitamine C et anti-dépresseur à la fois, calmant lorsque les nerfs se rebellent.

    -Ensuite le médicament "objectivité". D'abord commencer par faire un liste de tous les défauts du Monsieur. Ne pas avoir peur d'être méchante.

    -Enfin, un entretien avec le psy Ovide ne se refusera pas ("Remèdes à l'amour"). Appliquer le principe de la fuite et surtout celui de la vulgarisation. Se représenter l'autre sous son plus mauvais jour.

    Jour 3:
    Après avoir explosé mes glandes lacrymales et réveillé mes nerfs en sursaut, je m'accorde ce dernier jour pour commencer à essayer d'enterrer la chose.

    Il faut dire que le jeune homme en question m'y a aidé grandement après avoir menti et tourné autour du pot pendant quelques jours. Cela plus l'existence d'un ego démesuré font des ravages sur les sentiments.

    Il était un peu prince charmant, il m'a sorti le grand jeu et, comme on me l'a fait très justement remarqué, je suis tombée dedans. C'était une passion et j'ai oublié en chemin que les passions sont bien souvent destructrices. Des fois je me demande même si je n'étais pas un miroir dans lequel il pouvait admirer sa propre image sublimée.

    Bon, j'essaie d'être objective mais il faut reconnaître que je l'aime encore...

    ... aïe, aïe, aïe.

    Ordonnance pour le lendemain : Passer à la thérapie Shywawa entre amis.

    PS: je déteste les guitaristes! ;p


    7 commentaires
  • Mon garçon est parti, laissant mon coeur dispersé en un millier de morceaux...

    ... joyeuse Saint-Valentin!

    Il est donc fort probable que je n'écrive rien ici pendant quelques jours. Je n'ai même plus le courage de répondre à mes e-mails (-pense notamment à toi Govia-).

    Je n'y arrive tout simplement plus.

    Il paraît que tout finit par aller toujours mieux. J'espère. Parce que là, j'ai du mal à envisager le mieux.

    Des fois je me demande si l'amour vaut vraiment toutes les blessures qu'il amène avec lui. Jonathan, j'aurais aimé ne jamais te rencontrer. Qu'importe tout le merveilleux, la blessure est trop profonde.

    En fin de compte le célibat et toutes ses insouciances sont beaucoup plus faciles que ceci. J'aimerais être aussi insouciante que je l'étais il y a 6 mois, avant de le rencontrer.

    C'est quoi au fond l'amour?

    Il paraît que cela donne des ailes, certes. Mais à vouloir aller trop haut, on finit par se bruler. Je pense à Icare... un instant de bonheur, dans sa folie des grandeurs, pour finir par tomber.

    J'ai pensé que c'était pour la vie, de tout mon coeur. Et je me suis trompée. Je ne veux plus jamais revivre cela. Jamais. Je ne veux plus des mensonges et des belles paroles. L'amour est la plus belle connerie au monde.

    Je n'ai même plus la force de me relever.


    8 commentaires
  • RAS

    Rien à signaler.

    -Regarde les commentaires du post d'hier-

    Non, rien à signaler :

    Le ciel est gris, la température glaciale et les nuages crachent des larmes. Ce temps maussade sied très bien à la grisaille actuelle de mes jours. Des jours de beaucoup d'entre nous d'après mes constatations.

    "Fais chier la vie"... A priori cette "déprimitude" semble être actuellement un virus contagieux, encore plus méchant que la grippe.

    Rien ne va mais on va faire aller, après tout il y a encore les amis, seule constante solaire ces derniers temps.

    Après tout il y a toujours pire, certainement. Phrase horripilante. Comme si nous n'avions pas le droit de nous laisser toucher par nos petits malheurs sous prétexte que c'est encore plus triste ailleurs.

    Oui, il y a pire mais laissez-nous donc un peu à notre souffrance, verser des larmes c'est déjà un premier pas vers le mieux. Dans le genre "phrases toutes faites", je préfère le "après l'orage vient le soleil" que "il y a toujours pire".

    Il y a toujours pire certes mais il y a aussi toujours mieux, laissons donc éclater l'orage.

    Et puis reste ce bien joli mot, un des plus jolis de notre vocabulaire : "espoir".

    Se lever, espérer et puis continuer. On verra bien.

    En espérant, justement, que je ne me bats pas contre des moulins à vent.

    Et si ça ne va vraiment pas, voici la recette :

    -Des amis, un bon repas. Le tout mélangé forme le rire. Laissez mijoter et allez vous distraire en groupe.

    Grupons donc au Caveau ce soir.


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  • Je n'aime pas la Saint-Valentin.

    Mais alors, pas du tout.

    Si jamais vous êtes célibataire, c'est un jour positivement déprimant. Du moins pour beaucoup, on aura beau dire, c'est ce que je constate souvent autour de moi, pas seulement autour d'ailleurs mais même "au centre"... il m'est arrivé aussi de me sentir tristounette, certes à une échelle toute relative et plutôt à court terme, même lorsque je me proclamais célibataire avec fierté (cela aussi ça arrive).

    Merci Messieurs les médias.

    Note pour ceux que cela intéresse : j'ai quand même passé la meilleure Saint-Valentin de ma vie alors que j'étais célibataire, avec deux amis dans la même condition que moi, tous les trois bras-dessus bras-dessous, le garçon de préférence au milieu. Rires assurés. De plus, à l'étranger, notamment aux Etats-Unis, il est coutume de fêter ce jour-là avec ses amis aussi.

    Si jamais vous êtes en couple, ce n'est guère mieux. Après tout, personne n'aime être poussé à la consommation. Pourtant, tout ce ressassement médiatique assomme et pousse son homme à se sentir obligé de faire un cadeau.

    Re-merci, Messieurs les médias.

    Personnellement, je préfére un million de fois offrir un présent à mon amoureux pour une raison symboliquement précieuse. Comme le 29 prochain, pour les six mois de notre rencontre (soirée-expédition inoubliable). Cela prend beaucoup plus de valeur, mais ce n'est certes qu'une question d'opinion. D'ailleurs, tiens, tendre un présent pour aucune raison particulière, sauf le désir de faire plaisir, c'est définitivement LA meilleure raison au monde.

    Reste le problème du cadeau en lui-même. Des fleurs, un bijou, du chocolat? Trop communs? Et quand bien même vous en restez aux fleurs (je suis moi-même "très fleurs" mais cela n'engage que moi), il va falloir faire attention : pas question de composer un joli bouquet à 19 heures, en principe le fleuriste devrait déjà avoir été dévalisé depuis belle. Ce jour à midi (et après 3 fleuristes), plus de lys et extrêmement peu d'orchidées.

    D'ailleurs force est de constater que les prix ont une fâcheuse tendance à quasi doubler en ce jour. Avis aux amateurs : le fleuriste place Cambronne présente de très belles fleurs mais les prix sont plutôt extravagants.

    Sus à la Saint-Valentin, de toute manière point besoin d'un jour dédié, surtout si décidé par d'autres, pour aimer...

    ... j'avoue avoir quand même acheté un joli bouquet. Pourquoi une fille n'offrirait-elle pas aussi des fleurs à son garçon?


    8 commentaires
  • ... a dit : "Je crois que la meilleure définition de l'homme serait : créature à deux pieds et ingrate".

    J'adhère.

    En fin de compte, l'égoïsme m'apparaît maintenant comme une nécessité à la protection de soi :

    Donnez et on vous en demandera encore plus,

    Faites des efforts, prenez sur vous-même constamment et on ne vous accordera plus le droit à l'erreur, 

    Reconnaissez vos torts et à l'avenir tout sera systématiquement de votre faute,

    Excusez-vous et bientôt on exigera que vous vous excusiez aussi pour l'autre,

    Remettez-vous donc en question, ça dispensera l'autre de le faire.

    Il faudrait qu'une certaine personne arrête de croire qu'il y a marqué "jouet imbécile" sur mon front.

    Vivement que cette semaine de merde soit terminée. Mes réserves de patience, gentillesse, prévenance sont totalement épuisées.


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