• Le problème du bonheur, c'est qu'on n'a rien à en dire.

    Il y a les rires, les moments d'intimité qui tiennent du sacré, les touchers qui élestrisent et les sourires niais.

    Mais dans le fond, c'est bien trop personnel. Et si délicat, fragile.


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  • o/`
    I know I stand in line
    Until you think you have the time
    To spend an evening with me
    And if we go someplace to dance
    I know that there's a chance
    You won't be leaving with me

    Then afterwards we drop into a little quiet place
    And have a drink or two
    And then I go and spoil it all
    By saying something stupid
    Like I love you

    I can see it in your eyes
    That you despise the same old lines
    You heard the night before
    And though it's just a line to you
    For me it's true
    And never seemed so right before

    I practice everyday to find some clever
    Lines to say
    To make the meaning come true
    But then I think I'll wait until the evening
    Gets late
    And I'm alone with you

    The time is right
    Your perfume fills my head
    The stars get red
    And oh! the night's so blue
    And then I go and spoil it all
    By saying something stupid
    Like I love you

    I love you...

    I love you...

    I love you...

    J'ai perdu quelque chose aujourd'hui


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  • 6 Novembre 2005.
    Le mois de novembre vient de naître et couvre Paris de son petit vent frais et engourdissant. Mais c'est sans compter les rayons de soleil qui aujourd'hui percent le moindre nuage, baignant la ville d'une douce lumière, et réchauffant corps et coeurs.
    Il y a de la magie dans cet éclairage, dans cette douce après-midi dominicale. Dans chaque parc, on y trouve des enfants jouant et riant franchement. Les saltimbanques sont de sortie, pour le plus grand plaisir des passants qui s'accumulent Ile Saint-Louis.
    Les photos sont tendres, la compagnie était charmante, la journée caressante.
    Conseil : allez donc tous voir "Rencontres à Elizabethtown". Un vrai poème.


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  • Pause dans un miniscule parc, Titou esquisse un sourire.

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  • o/`Paris tu m'as renversée o/`
    Tes saltimbanques éparpillés un peu partout, au hasard de tes humeurs.
    Tes peintres sur les ponts enjambant la Seine.


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