Je passe en mode groupie. C'est décidé : Nada Surf est le groupe le plus fantastique au monde.

Ils ont eu le bon sens de prendre un de mes amis comme reporter pour leur prochain tour.

Résultat grâce à eux je vais pouvoir serrer Paulie dans mes bras dès novembre.

J'aime Nada Surf, j'aime Nada Surf, j'aime Nada Surf!

Cris du coeur et parasite :

Nothing vous a envoyé un wizz!

o/`Céline o/`dit :
PUTAIN

o/`Céline o/`dit :
ARRETEZ TOUS AVEC VOS WIZZ DE MERDE!

o/`Céline o/`dit :
O.o

Nothing dit :
haha j'adore ça

Nothing vous a envoyé un wizz !

Nothing dit :
moi j'ai trouvé un moyen de te faire chier a 600 km

Nothing dit :
ça va, pas mal la performance

LUI : Tu me comprends?
- Oh oui, combien je te comprends!

Quatre mots.

C'est juste quatre mots qui peuvent tout changer. Ils résonnent à l'infini dans l'esprit, même quand la conscience se concentre ailleurs, quelque part ces mots-là restent, encore et toujours.

Juste quatre petits mots qui ont une telle prise sur le corps... et voici le coeur qui bat à tout rompre, l'estomac qui papillonne, les zygomatiques qui se soulèvent, les yeux qui se voilent de mystère.

Et la tête qui vaque et divague, les pensées qui se succèdent à une vitesse incroyable, les images d'un bonheur éventuel qui ne cessent de se matérialiser quand bien même on souhaiterait les chasser.

Et les rêves qui emportent, le désir qui gronde et qui monte, les baisers qui viennent au bout des lèvres.

L'espoir qui se bat férocement contre la raison, cette raison qui dans un dernier élan veut protéger, retenir, éviter. Cette raison qui se voudrait salut mais qui n'a aucun pouvoir face au coeur.

L'attente douce-amère, cette absence temporaire dont naît l'envie, celle qui fait que l'on finit par chérir.

L'orage intérieur, l'électricité, l'élan, la force.

Juste quatre petits mots de rien du tout qui soulèvent une tempête et provoquent un voyage. Qu'importe la destination d'ailleurs, quoi qu'il arrive resteront ces instants de bonheur.

Grisé.

( /\ Aperçu de la faune du mercredi soir /\ )

"Et le Mercredi, le Seigneur Otto créa l'Illegal Magic Club, faisant de ce jour la Sainte Nuit Hebdomadaire où ses apôtres et fidèles se réunissent en un lieu sacré (Shywawa) pour honorer la Magie, dans une ambiance de gentille débauche. Au nom d'Otto, de Max, et d'Isa... Amen"...

Plus sérieusement...

Plusieurs micros-événements hier soir : le baptême et l'initiation d'Amandine, la venue d'un magicien Argentin (dont-je-ne-me-souviens-pas-du-nom-pardon-pardon!) et l'absence de notre Mickaël préféré, remplacé maintenant par Stéphane.

Amandine et moi arrivons vers une heure, la salle du fond est comble, il y a là foule, notamment nos irremplaçables Max et Otto, mais aussi Didier, Olivier, James, Sébastien, Benoît, Bébél et j'arrête ici sinon la liste prendra encore 4 lignes. Comme d'habitude, on dénombre sur les tables beaucoup plus de jeux de cartes bicycles que de verres. Tout ce joli monde cause un joyeux capharnaüm, et ça navigue de table en table, avec pour armes cartes, pièces, boules en mousse, cordes, etc, etc. Pauvre Stéphane.

Otto et Max s'agitent, bientôt nous avons droit à une représentation du fameux magicien argentin mentionné plus tôt. Votre humble reporter s'excuse, n'ayant assisté qu'à deux tours, mais, à en juger par les applaudissements, le show devait être réussi.

Somme toute une soirée habituelle, mais attention "soirée habituelle" à l'Illegal veut dire drôle, chaude parfois, ennuyeuse jamais.

Le tout se finit à 5 heures, comme d'habitude l'after était au Petit Pont, de 6 à 8 heures.

PS : Frédéric tu nous manques, bisous, bisous, bisous!

Amandine, tout juste baptisée donc, Max, Céline.

Jamais sérieux ces trois-là, pfffttt!